- Kazushi Ono chef d'orchestre
- Stefan Dohr cuivres
« La réponse d’un artiste soviétique à une critique justifiée » : tel était le sous-titre dont Shostakovich avait gratifié sa Symphonie n° 5. Une œuvre où tout n’est qu’ambiguïté : l’ordre qui devient désordre, la joie qui s’étouffe, l’harmonie qui se fait stridente. Rien, en fait, auquel le régi ...
[lire la suite]
« La réponse d’un artiste soviétique à une critique justifiée » : tel était le sous-titre dont Shostakovich avait gratifié sa Symphonie n° 5. Une œuvre où tout n’est qu’ambiguïté : l’ordre qui devient désordre, la joie qui s’étouffe, l’harmonie qui se fait stridente. Rien, en fait, auquel le régime puisse trouver à redire, même si Shostakovich y traduit en musique l’oppression de son peuple.