- Felix Mildenberger chef d'orchestre
- Liza Ferschtman violon
Le Brussels Philharmonic fait son grand retour au prestigieux Concertgebouw d’Amsterdam avec deux chefs-d’œuvre intemporels, empreints de passion et d’imaginaire. Liza Ferschtman brille dans le Concerto pour violon de Sibelius — une œuvre mélancolique et envoûtante, à l’image de ...
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Le Brussels Philharmonic fait son grand retour au prestigieux Concertgebouw d’Amsterdam avec deux chefs-d’œuvre intemporels, empreints de passion et d’imaginaire. Liza Ferschtman brille dans le Concerto pour violon de Sibelius — une œuvre mélancolique et envoûtante, à l’image des paysages finlandais. Ensuite, Roméo et Juliette de Tchaïkovski donne vie à la plus célèbre des histoires d’amour, dans une fresque orchestrale aussi dramatique que lyrique.
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« La musique commence là où s’arrêtent les possibilités du langage. » Jean Sibelius composa son unique concerto pour violon pour lui-même — ou peut-être pour le rêve qu’il avait jadis caressé. « Pendant dix ans, mon plus grand désir a été de devenir violoniste virtuose », écrivait-il dans son journal à l’âge de quatorze ans. Ce rêve ne se réalisa jamais, et dans son concerto résonnent à la fois cette mélancolie et une profonde compréhension de l’instrument.
« Un vieux sujet, mais à jamais jeune : Roméo et Juliette. » Quant à Roméo et Juliette, c’est l’histoire d’amour par excellence, que Tchaïkovski transforme en un drame musical envoûtant, débordant de passion, de tension et de lyrisme.