Entretien avec Mihai Cocea
le 21 juin, notre alto solo Mihai Cocea interprétera la suite de Vaughan Williams : « cette œuvre illustre parfaitement la profonde compréhension que Vaughan Williams avait de cet instrument »
Au fil des années, Mihai Emil Cocea s’est construit une solide réputation pour son excellence artistique, sa polyvalence et son engagement profond envers la musique de chambre. En tant que soliste comme chambriste, il a collaboré avec un large éventail de musiciens et d’ensembles de renom.
Il a joué en soliste avec des orchestres tels que le Brussels Philharmonic, Nova Russia, les Moscow Soloists, le St. Andrews Symphony Orchestra et le Bristol Metropolitan Orchestra. Il s’est produit dans des salles prestigieuses telles que la Tonhalle de Zurich, le Wigmore Hall de Londres et l’Athénée roumain de Bucarest. Avec la pianiste Oana Zamfir-Cocea, il a enregistré les sonates pour alto de Brahms et Chostakovitch.
La musique de chambre occupe une place centrale dans son parcours artistique. Il a partagé la scène avec des musiciens tels que Daishin Kashimoto, Alexander Sitkovetsky, Diana Ketler, David Cohen, Simon Lane, Rudolph Koelman, Anneleen Lenaerts, Clémence de Forceville, Benedict Klöckner, Thorsten Johanns, Gustavo Carvalho, Nicolas Dautricourt, Liisa Randalu, Bruno Giuranna, Mariana Sîrbu, Rocco Filippini et Franco Petracchi. Il participe régulièrement à des festivals internationaux, parmi lesquels le Festival Artes Vertentes (Brésil), le Norfolk and Norwich Festival (Royaume-Uni), le SoNoRo International Music Festival (Roumanie) et l’IGNM Neue Musik Szene (Suisse). Depuis 2019, il est artiste en résidence du Huilo Huilo International Music Festival au Chili.le 21 juin, notre alto solo Mihai Cocea interprétera la suite de Vaughan Williams : « cette œuvre illustre parfaitement la profonde compréhension que Vaughan Williams avait de cet instrument »
Kazushi Ono, en véritable architecte musical, se plaît à explorer les cathédrales symphoniques d’Anton Bruckner, chacune étant un impressionnant mastodonte. La Septième symphonie est la plus glorieuse de toutes, une partition qui rivalise avec Notre-Dame, l’abbaye de Westminster ou la cathédrale de Cologne.