- Ilan Volkov chef d'orchestre
- Angélica Castelló electronics
- Alex Fostier direction sonore
Des électroniques dans la salle de concert ? C’est une touche de magie invisible qui ouvre, transforme ou bouscule le son vivant de l’orchestre symphonique. Ilan Volkov réunit quatre compositeurs qui font dialoguer — ou s’affronter — deux mondes sonores. ...
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Des électroniques dans la salle de concert ? C’est une touche de magie invisible qui ouvre, transforme ou bouscule le son vivant de l’orchestre symphonique. Ilan Volkov réunit quatre compositeurs qui font dialoguer — ou s’affronter — deux mondes sonores.
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L’univers de réalisme magique de Les Laveurs d’étoiles (Los limpiadores de estrellas) de Julio Cortázar a emporté l’imaginaire d’Angélica Castelló.
« Cortázar a un sens de l’humour délicat et le talent de transformer le plus banal des objets – une boîte pleine de rondelles métalliques en forme d’étoiles – en une atmosphère profondément poétique. Une atmosphère où tout peut coexister : la banalité, la joie et le comique, des métaphores magiques et même quelques touches politiques. » – Angélica Castelló
Tout aussi surréaliste, le « poème symphonique » A Magic Dwells de Priscilla McLean, où orchestre et bande se mêlent pour former une masse sonore dense, d’où émergent sans cesse de nouveaux éclats magiques. François-Bernard Mâche, pionnier des années 60, explore l’équilibre — ou la synergie — entre nature, technologie et musique.
Quant à William Dougherty, il marie une ancienne technologie (un enregistrement sur cylindre de cire de 1907) et une technologie moderne (un enregistrement sur smartphone), pour sonder comment la nostalgie alimente les rêves d’une patrie imaginaire.
« Cette œuvre explore les rêves de terres imaginaires, à travers des paysages sonores enregistrés. » – William Dougherty